- de ne plus écraser d’abeilles et de faire attention où il pose les pieds,
- de ne pas asperger ses balconnières, son jardinet ou son potager
de
traitements insecticides tous azimut sous prétexte que cela rend les
fleurs et les légumes plus jolis.
- de remiser la tapette à mouches dans le placard (parce que l’ancien petit
nom de l’abeille c’est la mouche à miel et du coup on se méfie de la tapette.)
- de ne plus considérer son pot de miel comme un vulgaire pot de confiture
mais d’y voir véritablement tout le boulot qu’il y a derrière (ça c’est de
la part de Gisèle qui vous fait savoir qu‘un kilo de miel c‘est quand
même 40 000 voyages d‘effectués entre la fleur et la ruche).
- de s’engager à faire passer l’ensemble de ce message autour de lui, au bureau, dans le métro, avec son hygiaphone, son dictaphone, son téléphone….
Si vous partagez ces valeurs et que vous avez juré et craché fidélité au serment de la ruche (craché c‘est pas obligé, on vous croit quand même…), vous avez passé la première étape pour faire partie de la tribu des happyculteurs.